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11 février 2014 2 11 /02 /février /2014 19:10

J'étais à l'artillerie anti-aérienne d'auto défence du porte avions " Clémenceau ". Avec l'escadre de la Méditéranée comprenant le croiseur anti-aérien " De Grasse " et de nombreux escorteurs, nous effectuiopns un exercice inter-alliés, avec des portes-avions, des croiseurs, des destroyers et des navires de débarquement de l'U.S.Navy, entre la Dardaigne et l'Italie quand une violente et brutale tempête nous surpris...Les portes avion américains envoyèrent leurs avions se poser sur des aérodromes italiens mais, les notre, des Breguets Alizé ASM n'avaient pas suffisament de carburant pour rejoindre le continent...il fut donc décidé de les récupérés malgré les très importants mouvements de plateformùe du porte avions...le bateau se mit bout au vent et l'appontage des avions commença...les pilotesq parvirent, non sazns mal et, je suppose, beaucoup de stress, à toucher le pont d'envol et a accrocher un cable de freinage avec la crosse...tout se passa bien jusqu'au dernier...il se présenta, s'aligna et commença sa descente vers le pont  mais, au moment de toucher l'arrière du pont, une vague imprévue fit plonger l'étrave du bateau et, l'arrière se levant, le pilote se trouva devant un mur d'acier...il pavint à lever le nez de son appareil qui, avec sa lancée, grimpa sur dans un vrai feu d'artifice d'étincelles car le train avant s'était rompu...depuis la passerelle de DCA nous suiviopns le drame et, étions sûr que lm'avion prendrait feu !...les pompiers furent très rapides et l'équipage et l'avion furent sauvés...La tempête nous balaya jusqu'aux Baléares et il nous fallu deux jours pour rentrer à Toulon...le " De Grasse " mit un jour de plus, son pont était net, la mer avait tout enlever jusqu'à ses marques de coque...les escorteurs ne rentrèrent que trois jours plus tard... lme bruiot courru que les Américains avaient perdu quelques hommes et des véhicules qui étaient amarrés sur le pont des batiments de débarquement..j'imaginais la vie à bde ces bateaux à fond plat pendant la tempête...

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 19:13

Nous étions élèves à l'Ecole de Canonnage, sur le batiment de ligne " Jean Bart " à Toulon, dans ce cours nous provenions tous des écoles préparatoires du pont de la marine, les écoles des mousses et de maîstrance, à l'exception d'un quartier maître pointeur de DCA et d'un Portuguais faisant son service militaire pour obtenir la nationalité française...nous passions pour des durs auprès des élèves des autres cours qui venaient de centre de formation et n'avaient que quelques semaines de marine alors que nous en avions, au minimum, un an et exécutions toutes les punitions et corvées avec le sourire tant elles nous paraissaient douces comparées à celles que nous subissions dans nos écoles précédantes...Notre formation consistait principalement à maîtriser la conduite de tir des canons, des roquettes et des torpilles et à entretenir ce armes...nous recevions bien sur une formation d'infanterie avec des tirs au fusil, au pistolet, au pistolet mitailleur ainsi qu'à la mitrailleuse, une hotchkiss à bande, datant de la première guerre mondiale...nous recevions aussi une formation maritime guère aussi importante que celle reçue à l'école des mousses...Notre formation principale était celle d'électricien d'armes et nous avions des jounées d'entrainement au tir, surtout contre avions, en mer, à bord d'un escorteur d'escadre ou d'un escorteur rapide...les escorteurs d'escadre étaient armés de canons de 127 mm et de 57 mm, les escorteurs rapides n'avaient que des 57 mm, tous deux avaient des torpilles et des roquettes ASM...Nous nous entrainions aux radars de désignation d'objectif et de tir et a la conduite du télépointeur où se tenait l'officier de tir...il y avait aussi des exercice avec des sous-marins au cours desquels nous étions chargé de la mise à feu des torpilles et de roquettes...C'est au cours d'un exercice de tir contre avions qu'arriva cet horrible accident ...notre camarade Evano était pointeur dans le télépointeur de 57 avec un second maître instructeur qui faisait officier de tir...les jumelles et le télémètre de ce télépointeur se déplacent dans deux petites fenêtres, ces fenêtres ont des volets qu'il faut ouvrir et verrouiller or, ces instruments sont entraîné électriquement et contrôlés par un joystique entrainant un pointage vitesse déterminé par la position du joystique...Evano était très gand et, il passa la tête par la fenêtre pour verrouioller le volet...ce faisant, ses genoux déplacèrent le joystique et le télémètre avec les jumelles vint écraser la tête d'Evano avant que nuil ne puisse intervenir...on le sortit de là et le commandant, interrompant l'exercice, fit mettre " les machines sur le pont " et alerta Toulon...une ambulance nous attendait à quai et le commandant de l'ecorteur rapide, après avoir fait accoster son batiment, fit appeler la garde et les honneur militaires furent rendu à notre camarade au moment où il franchissait la coupée sur une civière...je crois savoir qu'il à survécu...il à été placé en hibernation à Marseille et son frère est venu nous porter des nouvelles de temps à autre puis, on les a perdu de vue...je pense l'avoir entrevu, prenant le métro près du ministère de la marine...une tête à moitié enfoncée ça ne courre pâs les rues...je n'ai pas osé l'aborder...j'espère qu'un jour on se reverra..

C'était en 1959 et j'avais 17 ans...

 

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9 février 2014 7 09 /02 /février /2014 09:23

2013-06-19-10.33.45.jpg2013-02-12-12.48.59.jpgL'église " Notre Dame de Gwell Mor " fut construite de 1957 à 1959, la bénédiction de la première pierre eu lieu le 30 juin 1957. Elle a été construite sur un étang remblayé, terrain appartenant à la commune et dont le prix n'était pas prohibitif. Cette église fut construite à la demande de la population qui, jusqu'alors, devait se rendre à Saint Hernot pour les services religieux depuis la disparition de la chapelle Sainte Marine. Lors de la grande mission de 1948, il était apparu absolument nécessaire d'avoir un centre religieux à Morgat. En 1950, Mgr Fauvel vint se rendre compte, sur place, de la situation. En 1953 l'abbé Yves Qéméneur fut nommé vicaire à Crozon avec la charge de s'occuper spécialement des marins-pêcheurs et du quartiert de Morgat; il devait réunir son monde dans une misérable baraque...Aussi la population voulait une église et il lui tardait de voir ses voeux exaucés. Au printemps 1955, le secrétaire de l'évèché, Monsieur Helou enquèta discrètement sur la possibilité de créer le lieu de culte tant désiré et, fin mai, le curé Grall fut invité à l'évêché pour discuter de l'affaire. L'évèque le convainquit, malgré de nombreuses réticences de sa part, en particulier son âge, 81 ans, de prendre l'affaire en main. Les architectes choisits furent Monsieur Yvinec de Quimper et Monsieur Couté de Brest. Après moultes démarches le plan fut accepté par la Commission Diocésaine d'Art Sacré et approuvé par le M.R.L; On ouvrit le chantier et les fondations furent entamées. Bâtir sur un étang envahi par la mer peu d'années auparavant était un travail audacieux. En juin 1957, toutes les difficultés étaient vaincues. La suite montrera que ceci n'est pas tout à fait exact : une fracture, d'est en ouest, est apparue au sol et la moitié sud s'est légèrement inclinée tandis que des fissures ou fractures sont apparues dans les murs. Des infiltratios d'eau ont été bouchées sur les hauts mais, il a été impossible de rémédier au noyage de la cave et à l'invasion d'eau dans l'église lors des grandes marées et des débordements du Loc'h. Cette église fut construite avec l'argent du diocèse et des fidèles, c'est donc une des rares églises n'appartenant pas à l'état et il y a fort à parier que ce dernier n'engagera pas de fonds dans son entretient qui en a pourtant bien besoin...L'association diocésaine n'en a guère les moyens et les fidèles, bien moins nombreux que lors de la construction, et peut-être plus désargentés, non plus...reste la charité...

Cette église qui, parait-il, n'a pas été consacrée en tant que telle, serait donc une chapelle. Ce qui la caractérise est la recherche du pratique et du fonctionnel. Elle est spacieuse, dépourvue de pilliers avec des murs porteurs, elle peut recevoir de 800 à 1000 personnes. Le mobilier est très réduit : une grande croix, avec le Christ, une seule statue, celle de Notre Dame de Gwell-Mor, titulmaire de l'église, et l'autel fixe primitif qui a été déplacé pour faire face aux fidèles. Le tabernacle a été placé dans un angle du choeur. Depuis 1971 un chauffage à air pulsé a été unstallé et quelques vitraux du maître verrier Le Guevel ornent l'ensemble. L'abbé Berrou, dernier curé de Crozon, pense que cette église serait un réceptacle parfait pour des expositions et l'excellente sonorité en ferait un excellent choix pour des chorales ou autres concerts...Ceci pourrait aider à en financer l'entretient...il est à craindre que les paroissiens aient, un jour, pas très lointain, à accepter la désacralisation de ce bâtiment..

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8 février 2014 6 08 /02 /février /2014 21:23

D'après le télégramme; un communiqué de la mairie avise la population de la mise hors service du réseau d'assainissement...ce serait du à une panne de pompes et on craint des débordement sur les plages qui sont donc interdites d'accès...on à aussi interdit la baignade, le ramassage de coquillages et la pêche !...De toute évidence le problème c'est surtout les colligermes fécaux et les colliques qu'ils causent...mais, si les plages de Crozon se retrouvent contaminées on peut se demander ce qu'il en sera des plages des communes voisines, de la baie de Douarnenez et de la côte ouest, l'eau est un millieu commun à toutes ses zones et les courants, heureusement très faibles en baie, transporteront les germes très rapidement...espérons que le problème sera vite résolu mais, on peut imaginer pareille situation en pleine saison touristique...on peut facilement imaginer les conséquences...

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 06:46

Une fois de plus le bas de Morgat subit des inondations, souvent les grandes marées qui remontent le Loc'h et inondent les places en sont la cause mais, par deux fois, ces inondations se sont produitent par des coeficients de marée moyen ou fable et sont dues à de fortes ou très fortes pluies qui rendent le débit du Loc'h  important qu'il ne peut s"écouler par la buse qui passe entre l'église et la route et cause l'inondation de la place de l'église, du carrefour de la pharmacie, de commerces voisins et de logements en contrebas; le fait de l'accumulation du sable sur la plage, à la sortie de cette buse agit en frein à l'écoulent de l'eau en créant une perte de chargez supplémentaire...La solution serait, bien sur, de recréer un canal à ciel ouvert qui, coupant Morgat en deux comme aux tyemps jadis, causerait moins d'obstacle à l'écoulement de l'eau du ruisseau mais, il faudrait repenser le plan de circulation....peut-être qu'en construisant un pont en structure métallique légère...

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 14:37

Pour un marin ce naufrage pose des questions, pourquoi le capitaine, conseillé par un pilote de l'Adour, a-t'il pris la décision de rentrer dans ce port connu pour être d'un accès difficile en raison d'un chenal étroit et d'une barre ?...Vu la tempête qui reignait tout marin sait qu'il faut se tenir loin des côtes, avoir de la mer à courir en cas d'avarie et, éventuellement, se mettre à la cape, c'est à dire épauler la lame...est-ce un excès de confiance en son bateau, ou en lui même , ou les deux ?...Il avait du carburant, n'avait ni avarie de machine ni de barre selon toute vraisemblance...Alors pourquoi ?....J'étais à bord de l'escorteur " Du Chayla " quand il a franchi ces passe pour aller à Bayonne et je sais combien cela n'est guère facile...après des avaries électriques, vouloir percévérer à entrer semble inconcient...en entrant dans la Gironde à bord du même batiment et au cours d'une tempête, nous avons pris une vague qui est passée sur le spar deck, est entrée par une prise de ventilation et envahi la machine...l'eau de mer tombée sur le tableau électrique principal et nous avons perdu la barre jusqu'à ce que le circuit hydraulique de celle-ci soit mis en service manuellement ( vélo sans selle )...un temps qui a paru très long à l'équipage qui voyait sa dernière heure arrivée..chacun cherchait désespérément son gilet de sauvetage dans le noir...le capitaine d'armes, le maître fusilier marin Calvez de Saint Divy tentait de rétablir le calme en ricanant et en disant " c'est là qu'on voit les rats sortir de leurs trous ".le batiment était travers à la lame et roulait bord sur bord...c'était un samedi après-midi et après une semaine de dur exercice de l'Escadre Légère, devant Biscarosse, ceux qui le pouvait faisaient une sièste réparatrice...il fallait tourner, en présentant le flanc à la mer, pour entrer dans la Gironde et faire escale à Bordeaux...le mouillage d'une première entre résultat en la perte de cette ancre..enfin, la deuxième crocha et tint bon !...

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:02

La loi litorale et les zones humides en rendant inconstructibles de nombreux terrains que leurs propriétaires voyaient comme un trésor à déclenché une vindicte contre les élus... Le conservatoire du litoral a préhempté des terres et les a acheté au prix de terres agricoles   dont la valeur a été estimée à un prix très bas car ces terres étaient, en général des friches, non cultivables car avec très peu de sol sur de la roche et, bien sur, non constructibles...Le but premiezr d'achat de ces terres par le conservatoire était la préservation du litoral en évitant un bêtonage comme celui que l'on rencontre en cerains endroits et principalement sur la c^te d'azur...Le GIEC n'existat pas encore et on n'avait pas entendu parler de réchauffement climatique, le but était de consever un espace naturel  qui aurait favorisé le tourisme...On s'est apperçu depuis que la planète se réchauffait, on pense que cela est dû à l'accumulation de gazes produits, en grande quantité, par la civilisation actuelle..En fait, il n'est pas impossible que se soit un phénomène naturel, comme un déplacement d'axe de la terre ou, un changement d'orbitre de la terre autour du sokeil...ou encore autre chose mais auquel s'ajouterait les effets de l'augmentation de la production de gazes à effet de serre par les humains...La courbe d'augmentation de température suit la courbe d'augmentation de production de gazes à effets de serre...Ceci amène une dilatation des océans, une fonte des glaces polaires et celles des glaciers, d'où une élévation du niveau des mers.   Le réchauffement des océans augmente l'évaporation et de plus en plus de cyclones se forment, ces cyclones sont de plus en plus violant et, comme en général les queues de ces cyclones et tempêtes tropicales traversent l'Atlantique pour finir chez nous ont peut imaginer ce qui suit...avec la montée de la mer, on peut penser qu'il vaut mieux se tenir loin de l'eau et à l'abri du vent...ce que faisait déja nos anciens...

Les zones humides, nombreuses autrefois, du temps où on se chauffait avec la tourbe, ont été sonvent drainées et assèchées pour augmenter les terres cultivables d'agriculteurs qui ne voient que leur profit immédiat...ces zones humides sont très riches en biodiversité et sont le seul habitat de bien des insectes et oiseaux, l'équilibre de la nature dépend d'eux aussi mais, l'humain s'en contrefiche de l'équilibre de la nature ce qui sera probablement sa perte...d'autre part ces zones humides régulent, ou régulaient, le circuit de l'eau et filtraient cette eau, diminuant par là la pollution. Vouloir faire croire que l'agriculture française aidera à résoudre le problème de sous alimentation dans le monde est un fiefé mensonge...il faudrait que les agriculteurs acceptent de n'avoir aucun revenu pour que leurs productions soit à portée financière des pays du tiers monde..., le bilan proteïnes des élevages est une catastrophe absolue et le bilan énérgétique désastreux...je passe sur la contribution de l'agriculture, comme pratiquée en occident, sur l'émission de gaz à effet de serre qui est au deuxiéme rang, après le transport routier !

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3 février 2014 1 03 /02 /février /2014 19:37

degats-8.jpgdegats-4.jpgL'accès aux parkings du port de Morgat est interdit pour permettre la mise  terre des trois pontons et des trois passerelles avariés; l'installation d'eau et d"électricité doit aussi être réparée. Ces travaux sont estimés à plusieurs semaines. Les aires de stationnement sont interdites d'accès pour permettre le stockages des pontons rompus et des passerelles avariées; les plaisanciers et le public sont invités à ne pas se rendre sur le port, sauf nécéssité absolue, pour ne pas gêner les travaux  et permettre leurs réalisations dans les meilleurs délais...Des navettes pourront être mises en place par les agents du port pour se rendre sur les bateaux pà 08 h 45 et 13 h 45...Ceci montre combien les dégats sont sérieux et vont, sans aucun doute, s'avérer très couteux...Des flotteurs de pontons sont échoués sur les plages du Portzic, de Postolonnec et de l'Aber....

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2 février 2014 7 02 /02 /février /2014 19:21

La forte houle et le coefficient de marée de 114 ont fait que le port à été fortement chahuté. Tout d'abord de nombreux blocs d'enrochement ont été suoulevés par les vagues, l'enrochement s'est enfoncé en un endroit, trois passerelle d'accès aux pontons sont tombés à la mer et, au moins, trois pontons se sont franchement rompus en leur milieu...les bateaux ne semblent pas avoir subis de dégats...le revètements bitumineux de la digue ainsi que celui des terres pleins a été écorché mettant à nu des conduites d'eau et des conduites électriques et montrant un affouillement du substrat en pierrailles et tout venant..

Au bourg de Morgat les places, l'église et le carrefour de la pharmacie ont été inondés comme d'abitude mais sans subir de dégats nouveaux...le quai Kador en cours d'élargissement a été balayé et de nombreux objets du chantier répandus sur la chaussée et contre les batiments bordanrs cette chaussée...les entreprises engagées dans le chantier d'élargissement du quai Kador et de la passerelle de la descente de Morgat avaient déplacé leurs engins et grues hors de la zone estimée d'action de la marée...

A Toul Car, la mer est parvenue jusqu'à la route en projetant des galets sur celle-ci et la descente sur la plage a encore souffert...une des maison entre Toul Car et l'Hôtel de la Mer a vu sa verrière de salon exploser et une barrière d'entrée c"est retrouvée à une cinquantaine de mètres dans un jardin de l'hôtel...l'autre maison c'est trouvée entourée de galets et le mur de protection a perdu quelques moelons, mais aucun dégat intérieur... 

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31 janvier 2014 5 31 /01 /janvier /2014 15:39

Il existe une catégorie de gens en France qui, pour avoir raison, enterreront la France...Les énergies renouvelables sont, en majorité et malheureusement, du domaine de l'utopie...l'éolien qui produit du courant électrique quand nul n"en à besoin et qui ne produit rien en période de grand froid et le photovoltaïque qui ne fonctionne qu'avec beaucoup de soleil qui est plutôt rare au nord de la loire, l'électricité qu'on ne peut pas stocker font que, pour les années à venir il faudraz continuer à utiliser de l'énergie fossile et du nucléaire !...L'hydrolien pourrait être prometteur mas il faudra des décènies pour le développer... En outre, la population augmente sans arrêt et la demande en énergie ne fera qu'augmenter...le gaz de shiste, s'il existe et s'avère exploitable en France ne suffira certainement pas à satisfaire les besoins mais peut être un appoint sérieux...

L'exploration consiste à faire de la gélogie de terrain, de la géophysique sous forme de seismologie et des forage de reconnaissance pour confirmer les hypothèses résultants de observations géologiques et des mesures géophysiques...Les forages permetront d'abord de vérifier la stratigraphie en recallant cette dernière résultant des interprètations des gélogues et géophysiciens, ils permettrons ensuite de vérifier la présence d'indices de dépots ou formations de gaz dans les couches visées...une série de tests indiquera ensuite l'importance physique et économique de ce gaz...il faudra ensuite déterminer l'étendu de ce qu'on apelle un réservoir par des forages d"extension...Enfin, si tout s'avère favorable, on tentera de produire ce gaz en forant des puits de production, en construisant des stations de pompage et de traitement du gaz et des gazoducs...tout ceci nécessite des investissements énormes avec le risque constant d'échec...

Les forages s'effectueront de la même façon que ceux du pétrole ou du gaz naturel...la région d'Aquitaine, les Landes et le bassin parisien n'ont pas soufert écologiquement de ces puits et la Seine et Marne qui crie au loup en à tiré de grands profits...la fracturation hydraulique, j'en aie effectué beaucouip en Seine et Marnes n'a même pas été connue de la population et ne lui a apporté aucun désagrément...en Hollande j'ai participé à des fracturation de champs de gaz avec des moyens énormes,des pressions de l'ordre de 1500 ou 2000 baes et des volumes de fluide et de propants qui se chiffrent en miliers de m3 sans que cela cause la moindre gène ou la moindre pollution...nous étions surveillés par " Greenpeace " ..

Les problèmes qu'on peur attendre sont celui d'approvisionnement en matériel et de trouver du personnel qualifié et expérimenté..poue le matériel cela peut être résolu en y mettant le peix...pour le personnel cela sera certainement plus dur car s'ik existe quelques formations il n'y en a pas pour l'expérience !...

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