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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 08:03

2013-04-15 16.29.57Un hélicoptère s'est écrasé au centre de Londres faisant deux morts, dont le pilote, et six blessés. Le pilote, agé de 51 ans était expérimenté.

Ceci pourrait arriver partout et un hélicoptère est plus dangereux qu'un avion au dessus d'une zone abitée car l'avion peut éventuellement planer  en cas d'avarie de moteur et tenter de s'éloigner des zones abitée alors que la seule action que peut tenter le pilote d'hélicoptère est de mettre le rotor en auto-giration en débrayant le moteur ce qui ralentit sérieusement sa chute mais qui est tout de même verticale...l'hélicoptère comporte des éléments en magnésium et pour éteindre ce métal en feu il faut un extincteur spécial, probablement in trouvable en ville....J'ai beaucoup volé en hélicoptère et ai suivi des stages de sécurité et survie.

Il se produit beaucoup d'accidents d'hélicoptère dans l'industrie pétrolière, principalement offshore et, en mer du nord, un hélicoptère à raté son appontage pour deux raisons qui peuvent paraitre stupide...le pilote avait un besoin d'uriner intenable et ne pensait qu'à ça et le co-pilote était absorbé par ses échanges radio avec l'officier d'apontage...acun ne réalisa qu'il volaient à la même vitesse que le vent et dans la même direction que ce dernier souflait, l'hélicoptère n'ayant plus aucune portance se crasha dans la mere entraînant la mort de l'équipage et des passagers...le plus souvent il s'agit de panne et l'hélicoptère parvient à amérir, il faut le quitter très rapidement car le poids des turbines est dans le haut et il se retoune rapidement...enfin, dans le stage de survie on apprend à quiter l'hélicoptère sous l'eau, même retourné...

Les survols d'hélicoptère sont très fréquent au dessus des aglomérations de la presqu'île de Crozon, particulièrement de Lanvéoc et de Crozon...sachant que " ce qui peut arriver c'est déjà produit et que ce qui ne peut se produire ne va tarder à le faire " on pourrait imaginer une chute d'hélicoptère dans une courre d'école au moment de le récréation...

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 04:51

2012-07-17 21.44.022013-06-29-20.20.10.jpg2013-06-29-20.20.59-copie-1.jpgLe 29 juin 2013, les Crozonnais et touristes se promenant sur le port de Morgat eurent le choc de se voir entourer de militaires américains, anglais, français et russes !...Des navires de guerre avaient mouillé en baie...les marines américains sécurisèrent les approches du port,du côté de la terre, les fusiliers anglais sécurisèrent le môle et les français et les russes la jetée et le plan d'eau...il s'agissait simplement d'un exercice interalliés d'évacuation de ressortissants d'une région de troubles...les Russes et les Américains fraternisaient, les Anglais étaient un peu réservés et, les français parlant très peu anglais se tenaient un peu à part...ceci montre que les militaires de toutes nationalités exercent bien une même profession et peuvent très bien s'entendrent entre eux !...il serait fort domage que ces soldats se retrouvent face à face dans une situation de conflit où chacun ferait surement ce que l'on attend de lui et ce pourquoi on le paye....

Enfin, les Russes, comme les Américains ont découvert Morgat où même certains fusilier marins français, pourtant basés à Brest, n'étaient jamais venus...

Cet exercice à lieu tous les ans mais il est à craindre que les Russes n'y participeront plus, tout au moins dans les prochaines années, car il est possible que nous retournions vers une guerre froide que nous avons connue il y à quelques décennies...tout le monde, des deux bords, s'en portait très bien et ça faisait marcher l'industrie de l'armement..

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 16:03
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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 14:00
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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 13:52

J'ai toujours considéré que ceci pourrait arriver à Crozon un jour car les survol d'hélicoptère y sont nombreux et une panne est vite arrivée

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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 17:14

La première fois où je me suis rendu compte combien l'atmosphére des ville était polluée ce fut au printemps 1967, j'étais officier marinier à Brest, le " Torrey Canyon " venait de faire naufrage sur la côte anglaise et la nappe d'hydrocarbure commençait à traverser La Manche et à suiller les côtes française. La marine nationale fut appelée à participer à la lutte contre cette pollution et on m'envoya en mission à Paris pour recevoir des instructions. Bien sur, j'étais en uniforme et portais une chemise blanche, chemise blanche dont le col et les manchettes ne tarda guère à noircir et même à devenir noirs de crasse tant l'atmosphère était chargée de particules de suie....On aurait suement beaucoup de peine à imaginer une telle pollution de nos jours !...

J'ai retrouvé une pollution très forte à Caracas où l'air est difficile à respirer...je l'ai trouvé aussi à Buenos Aires, surtout sur la route.. cette pollution est surtout fourte dans les valées qui passe par les collines.. à Ushuaia je n'ai vu qu'un ciel nuageux et pluvieux, pas de pollution visible !...à Singapour il y a un peu de pollution mais, là encore c'est beaucoup pluvieux.. à Perth je n'ai pas obsevé la moindre pollution....

Je ne pense pas que la pollution actuelle soit aussi dangereuse que celle des anées 1960-1970 et je suis convaincu que celle de la région parisienne et du nord de la France est principalement apportée par les vents d'est nord-est venant d'Allemagne qui, pour arrêter ses centrales nucléaires à construit des centrales au charbon brûlant surtout de la lignite matières émettant des fumées très polluantes avec une très grande abondance de particules fines...Il me semble que les partis politiques écologistes furent à l'origine de cette erreur.. et je comprends que Maud Fontenoi ne puisse suporter les écologistes politique...Je suis très proche de l'écologie et entièrement de son avis.

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15 mars 2014 6 15 /03 /mars /2014 20:36

puits-d-eau-dans-l-erg178.jpgcorvee-d-eau-chaamba179.jpgJ'ai connu les Chââmbas lors de mon premier séjour au Sahara en 1968. J'étais géologue de sonde sur un appareil de forage super 7x11 de la société Forex qui forait un puits d'exploration, pour la société pétrolière Sinclair, à Rhourde el Baguel, à l'est d'Hassi Messaoud, dans le Grand Erg Oriental ....j'eu l'occasion  de' voir des tentes noires de nomades Chambi et d'precevoir de femmes et des enfants allant quérir de l'eau dans de vieille chambres à air transportées sur le dos de quelques anes...ces enfants venaient régulièrement nous proposer de jeunes fennecs et gerboises que l'on parvenait aisément à apprivoiser...en 1990, je m'étais rendu à Hassi Messaoud pour faire l'audit d'un appareil de forage que la société algérienne Alfor était en train de transformer et d'équiper pour forer le premier puits horizontal en Algérie. Après avoir visiter le site d'Hassi R Mel,où ce puits devait être foré, en compagnie d'un ingénieur de la société de forage, d'un ingénieur de la société cliente Sonatrach et d'un chauffeur touareg  , nous avons visité l'apareil en travaux à Berkaoui où nous avons passé la nuits puis, repassant par Hassi Messaoud nous nous sommes dirigé vers l'est, par Rhourde El Baguel et la frontière tunisienne pour visiter un appareil identique de la société Alfor et forant pour des Australiens. Au retour, dans les dunes de l'erg, avant Rhourde El Baguel, nous avons apperçu un Chamba accompagné de deux enfants, d'un âne et d'un ùméhari portant des outres, nous nous sommes arêté pour leur parler et comme ils allaient chercher de l'eau à un puits situé près de la piste, nous avons pris l'adulte à bord de la Land Rover et, arrivé au puits, l'avons aidé à le découvrir et à l'équiper pour puiser l'eau...nous sortions la première eau quand les enfants sont arrivés avec les animaux...Plus tard, au cours du forage sur le champ d'Hassi R Mel, au cours d'une promenade le long d'un oued à sec, j'ai recontré un berger Chamba avec son troupeau de moutons, nous nous sommes serré la main et avons tenté de converser, en Arabe mèlé de Français et l'inverse, nous avons fait un bout de chemin ensemble vers le chantier de forage où il a fait boire les moutons et a poursuivit sa route... dans les mêmes parages j'ai rencontré un autre qui,avec un tracteur moderne, grattait le fond d'un oued pour y semer de l'herbe...il était accompagné d'une fillette agée d'une dizaine d'années qui jouait avec une poupée faite de bout de bois et vétue de chiffons qui tenaient lieu de vêtements. Ce cultivateur Chamba m'invita à prendre le thé avec lui, à quelque distance de la tente familliale...pour éviter que je rencontre les femmes...en bon Musulman... à peu de temps de là je découvrat une excavation d'une dizaine de mètres de large et d'une trentaine de mètres de profondeur ou on pouvait descendre par des échelles de bois qui reliaient de petites plateformes fixées à la parois, j'en conclu qu'il s'agissait d'un puits d'eau...à environ un kilomètre de là je découvrit un curieux assemblement de pierrailles qui ressemblait vaguement à un cimetière et en était certainement un !...

J'ai connu un Chamba qui s'était sédentarisé à Ghardaia,et avait une grande et belle maison dont le plancher du salon était couvert de sable...il disait ne pouvoir s'en passer...

Les Chambas sont éleveurs, surtout de dromadaires et de moutons, ils fournirent la grande majorité des effectifs des troupes méharistes françaises en tant que supplétifs et hormis les raids de pacification et de maintien de l'ordre dans le sud saharien, rentraient chez eux avec leur mousqueton et des munitions, ils étaient encadrés par des oficier et sous oficier métropolitains, ils appartenaient à l'infanterie portée... Les Chaambas sont une tribu d'origine arabe vieille de plus de 10 000 ans et ennemie, avec d'autres ethnies, des Touaregs mais se sont tout de même battus pour préserver les royaumes targuis, dont celui du Hoggar, face aux arabes du nord...Ils vivent dans la région du M'zab dont la capitale est Ghardaïa, leur mode de vie nomade est assez semblable à celui des Touaregs, leurs villes sont Metlili et Timimoune...ils cohabitent avec d'autres ethnies dont les Mozabites berbèrophones et ont eu d'autre tribus sous leur tutelle...

Les Mozabites, une des ethnies Berbères, vivent surtout à Ghardahia où ils sont arrivés après les guerres du moyen age, venant du nord, traqués par les Chiites...ils sont sédentaires, surtout commerçants ou artisants et les Arabes pensent qu'ils ont, partiellement, du sang juif....chez les Mozabites, les hommes portent un pantalon très spécit, la culotte mozabite et qui à très probablement sevit de modèle à la culotte des Zouaves de l'armée de Napoléon III.

Tout ses gens vivaient tranquilement ensemble mais, chacun sait qu'ils ont le sang chaud... surtout les Arabes car les Mozabites sont abituellement des gens très tranquilles.

Ghardaïa est une ville assez extraordinaire, située aux portes du Sahara, au pied de l'Atlas, située à 600 kms au sud d'Alger et à 190 kms à l'ouest- nord ouest d'Ouargla, c'est une ville très touristique en raison de son architecture et de son histoire, les touristes y sont, malheureusement, pratiquement absents bien que deux magnifiques hôtel y ai été bâtis du temps où les Soviétiques étaient là...ces hôtels sont pratiquement à l'abandon et, si on y trouve encore de l'alcool et queques rares prostituées, la piscine de l'un peut encore fonctionner mais l'eau y est croupie, quand à la piiscine de l'autre les parois se sont partielement écroulées et elle est à sec...c'est bien dommage...mais, la mentalité algérienne aurait du mal à supporter les touristes !... le nom de Ghardaïa, c'est une déformation de la forme amazighe " Tayerdayt " qui à été changé dans la periode coloniale française...le treme signifierait cuvette ou dépression ce qui correspond parfaitement à la situation de la ville...des arabes m'ont dit que le nom signifiait " le trou de madame Zaïat ...Lors du forage du premier puits horizontal d'Hassi R Mell, les relève s'effectuaient par l'aéroport situé à 19 kms au sud-est de Ghardaïa, près de l'aéroport il y avait un petit restaurant, tenu par un Kabyle, qui sevait un excellent couscous accompané de boissons alcoolisées, ils nous est arrivé de faire spécialement le déplacement depuis Hassi R Mel pour déguster ce couscous, ceci malgré le risque d'embuscade islamiste, surtout de nuit !...Pour entrer dans Ghardaïa, la route traversait l'oued M'zab très large mais toutes les fois à sec...j'ai du mal à imaginer l'inondation catastrophique d'octobre 2008 qui détruisit des centaines de maisons fit de nombeux blessés et des dizaines de morts...En sortant de cet oued, wadi pour les anglophones, on arrivait le matin sur un marché très bien achalandé et coloré, on y trouvait de tout, objets usuels, vêtements, bijoux et légumes...des maraîchers y apportaient de légumes frais à dos d'ânes par des ruelles étroites et les nombreuses boutiques, qui fermaient en début d'après-midi et réouvraient vers 16 heures, avaient un étalage qui n'avait rien à envier à nos villes.

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15 mars 2014 6 15 /03 /mars /2014 20:34

   A l'approche de l'aéroport de Koweit-city on pouvait voir les très nombreux panaches de fumée s'échappant des puits en feu, le sable du désert était plus ou moins noiratre, rarement couleur sable...à l'aterrissage cette fumée qui couvrait la ville nous pris à la gorge et nous piqua les yeux, nous allions subir cette gêne pendant des mois...en descendant la coupée de l'avion nous vîmes que quelques uns des personnels au sol, des Phillipins, portaient des masques du type chérurgical qu'on nous avait préciser être de peu d'utilité...Un collègue de la société Horwell, Erick Hajas, m'attendait et, une fois les brêves formalité de police et de douanes passées, me conduisit à l'hôtel où nous devions loger, au centre de Koweit-City...la fumée était partout et, après une nuit de sommeil assez agitée, elle était toujours là à mon réveil...Erick m'emena visiter les bureaux qu'Horwell avait loué à un homme d'affaires koweitien, du nom de Beïdoun et qui s'était rendu dans sa propiété sur la Côte d'Azur pour laisser passer passer la guerre, laissant sa bijouterie aux envahisseurs irakiens...comme il était aussi propriétaire de magasin à l'aéroport de Bagdat, il m'est arrivé de le soupçoner d"avoir été au courant du projet d'invasion à temps pour prendre ses précautions... nombre de ses concitoyens l'avaient imiter ou s'étaient réfugiés dans les émirats au dam des Emirs qui se retrouvaient dans l'obligation de les soutenir financièrement...Le chef de mission et les deux ingénieurs qui m'avaient précédé rentrèrent en France en attendant une signature de contract par la direction de la Kuwait Oil Company, je me retrouvait seul avec un agent administratif qui me servit de guide dans les premiers temps, il me fit rencontrer le PDG de KOC, sa secrétaire, une indienne très jolie, le Sponsor de Horwell et les représentant des entreprises qui devaient travailler pour nous dès obtention du contract d'extinction de puits...il me fit visiter les champs en feu etc...les routes étaient, à l'époque, quasi désertes à l'exception de véhicules et chars de l'armée U.S....

Enfin, la secrétaire du PDG de KOC me téléphona pour me demander de passer au bureaux de KOC car le contract était signé !...Horwell envoya immédiatement les équipes de pompiers qui avaient fat un stage aux Etats Unis et se tenaient prêts...les Américains expédièrent le matériel qui arriva à bord du plus gros porteur du monde, un Tupolev et tout le monde se mit au travail pour monter ce matériel...notre contracteur de génie civil monta un camp et construisit un grand hangar sur la base du champ de Raudatain qui nous était affecté....

Enfin nous étions prêt à attaquer l'extinction du premier puits...la société italienne Saipem nous construisit des réseves d'eau et la société bitannique Royal Ordonance démina les abords immédiat du puits et une voie d'accès, ce déminage était rapide et quelque peu léger..un homme, assis sur le capot d'une land rover, observait le sol et désignait les mines éventuelles qui étaient pétardées par lui et ses collègues...le sable s'étant accumulé contre les têtes de puits en feu, s'était vitrifié et il fallu faire sauter ces carapaces à l'aide de charges creuses de 250 kg d'explosif puis, de refroidir les têtes de puits avant d'introduire des tuyaux pour tuer les puits... Ceci ne posait guère de problèmes si ce n'est qu'à la suite d'une expérience malencontreuse, une charge refusa de partir...comme la nuit tombait et que l'on avait obigation de quitter le champ, l'artificir décida de fixer une ralonge à un manche de pelle, de poser 10 kg d'explosif sur cette pelle et d'aller jeter le tout dans le feu...il battit tous les records de vitesse pour venir se mettre à l'abri avant que les 260 kg de charge n'explose...cet ancien commando de la marine nationale venait de se couvrir de gloire et d'aquérir l'admiration des pompiers américains et des Forces Spéciales présentes...

Le plus gros problème que causait le fumée était la conduite des véhicules quand cette fumée grasse collait au sol...on distinguait à peine la piste avec la fumée et le dépot gras sur le pare brise et comme laplupart du temps elle avait été déminée par des engins militaires adaptés, les mines avaient simplement été rejetées sur les bords..un écart de conduite et s'était la roulette russe...cette fumée grasse nous la respirions et l'avalions presque en permanence...je ne' parlerai pas de l'uranium apauvri, surement très présent, ni des fines particules de sables qu'on rencontre dans tous les désert mais, un an après cette mission, je fis un accident vasculaire célébral et je ne peux m'empêcher de penser que les conditions de vie de là bas y sont pour quelquechose...la population locale subissait aussi cette polution, nombreux étaient les gens, particulièrement les enfants, à ressentir des troubles respiratoires...

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 14:10

2005-04-20 14.40.42 Au temps où j'étais élève à l'Ecole de Cannonage de la Marine Nationale, on m'avais fait effectuer le " parcours du marin "  qui concistait, entre autres, à grimper sur un portique d'une quinzaine de mètres de hauteur, par une échelle de corde, parcourir une dizaine de mètres sur la poutrelle qui coiffait ce portic, avec juste une corde comme garde-fou, et redessendre par une autre échelle de corde...pour faire cela il fallait une ceraine peur du vide, de la hauteur et maîtriser le vertige...

Fin 1968, je travaillais pour une société de services géologiques, Géoservices, comme géologue de sonde, sur un appareil de forage de la société " La Languedocienne " qui forait un puits d'exploration, pour la société pétrolière " Esso-Rep " à Lambeye, au nord est de Pau, dans le Béarn. Notre laboratoire géologique suivait l'avancement du trépan dans le sol, la profondeur et la vitesse de pénétration; pour cela nous disposions d'un appareil de mesure équipé d'un cable métalique fin qui, passant par le haut du derrick était fixé sur le sommet du train de tige et mettait un ressort en tension pendant la descente et enroulant ce cable sur un touret à la remontée...se cable, d'acier de piètre qualité, faisait des " coques " se cassait fréquemment et il fallait le remonter dans le derrick en passant à l'extérieur sur d'étroites poutrelles avec le derrick qui vibrazit et tremblait et le ressort qui se bandait au fur et à mesure de la montée, faisant le cable tirer en arrière,  passer ce derniert dans une poulie fixée au sommet de ce derrick et le redessendre puis le refixer sur la tête du train de tiges de forage... ce cable,de 5 mm et de fabrication française avec de l'acier de très mauvaise qualité mais moins cher qu'un cable d'acier américain,se rompait très fréquement et jusqu'à ce qu'il soit remplacé par un cable made in U.S.A....parmis les employés de la société de forage il y avait de nombreuses personnes abituées à grimper dans ce derrick et qui faisait cette réparation pour nous... malheureusement il est arrivé plusieurs fois qu'ils refusent de le faire et nous étions obligés de grimper nous mêmes dans cette tour...et il fallait pesser par les poutrelles extérieures, cela sur une hauteur d'une soixantaine de mètres avec le cable et le ressort qui exerçait une traction en arrière de plus en plus forte au fur et à mesure qu'on montait...bien sûr, le forage continuait pendant ce temps et le derrick vibrait et tremblait continuellement mais, il fallait bien passer ce cable et, si on faisait le maximum pour ne pas regarder vers le bas, on éprouvait tout de même une peur certaine que l'on parvenait à maîtriser...comble de déveine, cela se passait en hiver et il est arrivé que les poutrelles soient recouvertes d'une fine couche de glace !...bien sur, cette opération ce faisait avec des bottes de sécurité aux pieds et un casque sur la tête...personnellement, ma plus grande crainte était la rupture d'un boulon ou d'une autre pièce métallique...enfin, aucun accident ne nous est arrivé....mais, j'étais conscient qu'au moindre  mouvement raté j'étais mort dans la seconde...

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 04:47

Le Général De Gaule à dit, il y a bien longtemps, que l'Europe allait de l'océan Atlantique à l'Oural...géographiquement cela semble vrai mais elle est peuplée de très différentes ethnies avec des cultures différentes...Il n'y a pas deb différence très nette d'une région à l'autre, comme toujours les différentes ethnies se sont plus ou moins mélangé ainsi que les cultures aux zones de contact..grossièrement, il y à les arabo-berbéro-latin au sud ouest, les anglo-saxons au nord ouest et les arabo-slaves au sud est puis, les slaves au nord est....les peuplades du centre europe sont les plus mélangés et une certaine domination germanique s'y est toujours fait sentir, ceci est vrai pour l'ex Youygoslavie , surtout la Croatie, la Roumanie, la Serbie, la Georgie et le Kosovo...ces régions sont, surtout un mélange culturel très varié... le côté latino-musulman n'a jamais pu se faire à une certaine domination des slaves et durant toute l'histoire il n'y a eu que guerres et rébellions...Une lutte d'influence entre les germaniques et les slaves à toujours existé et persiste à le faire, ces régions centrale sont très peuplées par des ethnies d'origine germaniques, Allemands et Autrichiens, ce qui à servi d'excuse à Adolf Hitler pour envahir ces pays d'Europe Centrale...Depuis s'est ajouté une tentative d'influence américaine ! les USA ont, en outre, tendance à considérer l'Europe occidentale comme une marche ou colonie...Ils ont fait, avec l'aide de l'Europe, miroiter un avenir luxueux à cette Europe centrale, ainsi qu'à tous les pays en voie de développement, au point que ces peuple pensent qu'en occident on n'à même pas besoin de se baisser pour récolter les richesses...les médias ont leur part de responsabilité...or, ces peuples s'expose à de grandes désilusion et ceux qui sont venus à l'ouest s'en sont rendu compte...il faut travailler et la vie y est dure, la compétition y rêgne à tous les niveaux et partout alors que chez eux très peu d'efforts suffisaient pour vivre et, surtout en Europe centrale mais aussi dans les pays^plus ou moins socialistes, lnous avons beau en subir les conséquences es besoins de première nécessité étaient gratuits...il en résulte que les pays occidentaux attirent de multiples gangs de voleurs et autres criminels voulant profiter des richesses sans le moindre effort...nos dirigeants le constatent, comme nous, tous les jours mais, non seulement ils ne font rien pour arrêter cette invasion mais, en plus, ils ouvrent de plus en plus le libre accès à ces gens...

L'ouest de ce qu'on appelle Ukraine est peuplée de gens très différents dont les buts sont différents si ce n'est sur un seul point qui est de profiter des richesses de l'Europe et des USA, ceci sans efforts !...j'ai rencontré quelques réfugiés du bloc soviétique et aie même travaillé avec cezrtains d'entre eux...tous se plaignaient des dures conditions qu'on leur imposait chez nous et auraient voulu tout changer !...

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