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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 10:24

Ceci était prévisible de longue date, cet agro-alimentaire fut mis en place pour nourrir, à bon marché, une population qui rèvait de consommer de la viande à foison mais, rapidement, elle s'embala et devint largement excédentaire et se tourna alors vers l'exportation et bientôt dû faire apel à des subventions car elle ne parvenait plus à produire à des prix concurentiel avec les autres pays producteurs. Les élevages hors sol devinrent largement majoritaires et, la matière première pour la fabrication des aliments ne pouvant plus être trouvée sur place, il fallu importer cette matière première qui avait un coût. Les pays producteurs de cette matière première se rendirent vite compte qu'il était très facile de faire de l'élevage de poulets et de porcs en profitant d'une alimentation abondante et bon marché sur place. Les clients étrangers se dirent aussi qu'ils pouvaient faire ces élevages en important la matière première alimentaire comme le font les Bretons...Autre problèmes, la population occidentale se désintéresse de plus en plus de l'alimentation carnée et, comme chacun sait, l'élevage contribue très fortement, à l'effet de serre et à la polution des eaux jusqu'à créer des zones mortes dans les océans !... Sans compter les épidémies dans les élevages qui sont traitées par de grandes quantités d'anti-biotiques dont il reste des traces dans la viande, le reste  partant dans l'eau, pafois de consomation humaine et finissant éventuellement dans la mer. L'inéficacité des anti-biotiques qui résultent du trop grand usage de ces derniers oblige la médecine à faire de nouveau appel aux sulfamides, comme avant 1950.

En faveur de cet agro-alimentaire on a une augmentation démesurée de la population mondiale qui contribue, elle même, à l'agravation de l'effet de serre mais, le prix de revient des produits de l'agro-alimentaire breton, de qualité médiocre, est bien trop élevé pour la plus grande partie de cette population et ne peut exister qu'à grand renfort de subvention, donc de participation du contribuable, ce qui fausse le marché et ne peut durer longtemps sauf dans des pays collectivistes qui disparaissent petit à petit , en outre, les Musulmans et les Israélites ne mangent pas de porc, pas plus que certains Indouistes ne mangent de boeuf...j'oubliais les Boudistes qui ne mangent pas d'animaux !

En attendant, la pêche ayant pratiquement disparue depuis longtemps, il faudra permettre aux Bretons de survivre !

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 18:38

Depuis la guerre 1945 le désert libyen est truffé de mines et autres explosifs, régulièrement des nomades, des dromadaires , des gazelles et autres animaux sautent sur ces explosifs. L'US Air Force à tenté d'établir une cartographie de ces explosifs abandonnés par l'Africa Corp et par les alliés. On en découvre souvent, à l'occasion de déplacement de pétroliers, peu d'autres gens s'aventurent dans ce désert...Nous étions sur un appareil de forage, au sud de la baie de Syrte et un géologue libyen qui suivait des forage d'une mission géophysique, au nord, venait tous les jours passer ses raports sur notre radio car lui n'en disposait pas. Un matin il arriva en nous annonçant avoir trouvé des bombes, en consultant la carte de l'US Air Force nous constatâmes que rien n'était signalé dans les parages, on le fit donc savoir à Tripoli qui nous demanda d'aller vérifier sur place..Le géologue libyen nous guida sur les lieu et là gisait sur le sable une dizaine d'obus de 75 mm à dépression, fabriqué à Chicago en 1942 !...

Une piste, que nous empruntions souvent pour nous rendre sur les terrains d'aterrissages d'autres concessions, longeait des barbelés en très mauvais état et balisés de panneaux " MINES ", cette piste bifurquait à un coin du champ de mines et les camions y avaient creusé de profondes ornières en virant à cette bifurcation...bien des fois je m'étais dit qu'il vaudrait mieux ne pas manquer ce virage à angle droit tant était grand le risque de se trouver dans le champ de mines...Et je le fit ! le land cruiser Toyota que je conduisait arriva trop vite à cette bifurcation, les bonds dans les ornières me firent làcher le volant et le véhicule s"arrêta à une vingtaine de mètres à l'intérieur des barbelés, dans le champ de mines...je restait longtemps immobile au volant me demandant que faire...rester là a attendre des secours qui ne viendraient pas avant que l'on s'inquiète de mon absence et qui ne sauraient que faire..descendre du véhicule et essayer de sortir du champ de mines en marchand dans les traces de la Toyota et attendre qu'on vienne à ma recherche...ou faire reculer la voiture en tentant de rester dans les traces..Je me décidais pour la dernière solution et reculais le véhicule, j'étais très tendu et je ne ressentais rien et ne pensais à rien en faisant cette manoeuvre mais, m'écroulais presque une fois sorti de la zone dangereuse...

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 09:08

J'étais en charge d'une flotille de bateux de travail effectuant une mission de mesures sur les champs pétroliers offshore du Qatar et nous étions,accessoirement, chargés de la police de la navigation et de lme pêche sur ces champs. Dès le début de la guerre on assigna, à chaque bateau, la sécurité et l'évacuation d'une plateforme en cas d'attaque..Lors d'une réunion d'orgaznisation un chef de plateforme voulu nous monter les chambre's où dormait le personnel pour que nous venions les chercher en cas de problème..Nous fûmes catégoriques, il ne saurait être question car si la plateforme était attaquée, nous aussi serions attaqués et le bateau aurait besoin de manoeuvrer, je lui dit qu'ils auraient à sauter à la mer et qu'on essaierait de les repêcher si notre propre sécurité le permettait.

Quelques jour plus tard, alors s'était déterioré au point de nous empêcher d'effectuer des mesures, le bateau était amarré, sur coffre, près d'une pateforme...j'entendis les moteurs démarrer et le bateau se mettre en mouvement. J'allais sur la passerelle et trouvais le capitaine à la barre il m'annonça qu'un hélicoptère avazit signalé un boutre amarré à un jacket ( petite plateforme sans personnel ) et que Doha voulait qu'on aille investiguer. Le boutre fût facile à repérer et le capitaine fit deux fois le tour du jacket pour observer...rien de menaçant ne fut apperçu aussi il accosta et notre équipage aida l'équipage du boutre à monter à notre bord en laissant en y laissant trois marins, des Shri Lankais...On compris que le boutre était en avarie mais on ne parvint pas à) découvrir s'il s'agissait du moteur ou d'un filin dans l'hélice...On rendit compte à la base de Doha qui nous demanda de prendre le boutre en remorque et de l'amene à l'île de Halul. Un autre des quatre autres bateaux, le Mansal 36, prit notre place auprès de la plateforme et, au cours de sa manoeuvre pour prendre le coffre, se prit l'aussière dans l'hélice...Il fallu faire venir un troisième bateau pour le sortir d'affaire...

Pendant ce temps nous faisions route sur Halul, il faisait nuit et le pemps forciçait..Après quelques heures j'eu l'impression que le boutre était moins haut sur l'eau et demandait au capitaine de donner un coup de prjecteur...le boutre s'était bel et bien enfoncé et, à notre grande inquiétude, nous n'apercevions plus qu'un seul marin à bord..nous amenâmes le boutre bord à bord avec nous et, après avoir interrogé le marins, comprîmes que les deux autres, voyant le boutre s'enfoncer, avaient sauté à l'eau...avec l'aide du bosco indien qui servi, tant bien que mal, d' interprête, on compris que cela avait du se produire quelques vingt minutes avant !...De nuit, dans une eau infesté de requins,par une mer 5, on n'était guére optimistes...mais après quelques minutes de concertation, je conseillait au capitaine de faire route inverse pendant une demi heure puis de revenir en effectuant des zig zag, ce qu'il fit...nous étions trois sur la passerelle, le capitaine, moi et le chef mécanicien, l'igénieur de Slumberger était monté sur le toit dans l'espoir de mieux voir et entendre..au bout d'un quart d'heure il redescendit et nous dit avoir cru entendre des voix, il nous donna la direction et, peu de temps après, nous aperçumes une tête puis deux dans l'eau! ...ça tenait du miracle..le capitaine fit approcher le bateau autant que possible, on jetta des boués couronne avec des filins aux deux hommes mais comme l'un d'entre eux semblait trop épuisé, le boco et un autre membre d'équipage sautèrent à l'eau pour l'aider...Après les avoir repècher nous largâmes l'épave du boutre, en le signalant à Doha, et reprîmes notre route pour Halul. La mer balayait le pont et ceci nous vaudra d'avoir à changer l'unité Shlumberger envahie par l'eau et son électronique HS.

A l'arrivée à Halul, la police nous attendait sur le quai et ils embarquèrent imm'édiatement les naufragés qui passèrent la nuit eb cellule avant d'être envoyés à Doha, par hélicoptère,  le landemain, pour interogatoire...Nous étions en guerre!...

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14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 18:54

Ious les ans, la société " Qatar General Petroleum Company ", appartenant à l'Emir du Qatar et à Shell Qatar, effectue une campagne de mesures sur les puits de ses trois champs offshore. Cette campagne nescessite la mobilisation de quatre bateaux de travail, un bateau de mesure sur lequel se trouve une unité de Slumberger, un bateau, munis d'une petite grue, à bord duquel est embarquée une unité de travail au cable avec une équipe de production pour ouvrir les vannes et repêcher la vanne de sécurité dans le puits, un bateau de soutien plongée avec une équipe de plongeurs et un caisson de présurisation pour les puits ayant des têtes sous-marines, enfin un quatrième bateau en stand-by en cas d'avarie.

Le bateau de travail au cable acostait la plateforme et ouvrait le puits si la tête de puits se trouvait en surface, sinon le bateau de plongée envoyait les plongeurs; enfin le bateau de mesure accostait et l'outil de mesure étaiot introduit dans le puits et Slumberger effectuait la mesure. A la fin de la mesure on procédait dans l'ordre inverse. J'étais en charge de cette mission en tant qu'ingénieur embarqué.

Sadam Hussein et les Irakiens avaient envahi le Koweit et, outre le travail de police de la navigation et de la pêche sur le champs, l'ouverture de route pour les tankers se rendant à lîle de Halul pour charger, nous incombait..

Il arrivait que l'opération se termine tardivement et que nous décidions de passer la nuit amaré par l'arrière à la plateforme; au petit matin, il suffisait de larguer la plateforme et de remonter sur l'ancre pour partir...ce que nous fîmes ce matin là jusqu'au moment où le " Boco " se mit à gesticuler sur la plage avant.".quesqui lui prends ?", demanda le capitaine allemand, " tu regardesr!"..Je vis, à un mètre de l'étrave, un gros objet rond avec des antennes !..." ça à l'air d' une mine " dis-je au capitaine. " Qu'est-ce que je fais ?" dit-il ...mon cerveau fonctionnait à plein régime et tout en me demandant ce que ferait l'explosion, je répondis " Continue comme ça, on à peu-être une chance qu'elle s'écarte..." Il fit ce que je recommandais et, lentement, on vit la mine défiler le long du bord...sans doute chassée par la vague d'étrave...un grand silence reignait sur la passerelle et je ne sus rien des pensées du capitaine mais, les miennes furent de me demander si la mine allait nous détruire complètement, nous envoyer par le fond ou seulement nous avarier...serions-nous blessés ou tués ?

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14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 09:28

Maintenant que les aspirations de gloriole guerrière de François Hollande, de son ministre des affaires étrangères et de quelques conseillers mal intentionés ont subit un échec cuisant en Syrie, ils veulent tenter de refaire le coup du Mali en Centre Afrique. Ce qu'ils ont réussit au Mali est très douteux et des troublesz sérieux y voient déjà le jour. Si les troupes françaises n'ont eu aucun mal à faire reculer les rebelles au Mali, la situation risque d'être très différente en Centre Afrique ou il n'y à ni rebelles ni armée gouvernementale mais différents clans ou tribus dont le but est d'étriper le voisin..Si on veut rétablir l'ordre que l'occupation coloniale faisait reigner, nous n'avons certainement plus les moyens de ce genre de chose et on devra le faire partout en Afrique...peut-être dans le monde entier ! La situation désastreuse dans ses pays l'occident l'a crée et l'agrave !, le problème des réfugiés avec ses drames a pour origine nos gouvernants...tout comme la crise financière.. J'ai eu l'occasion d'entendre des témoignages de " boat people ", l'un était Cambodgien et vivait en France depuis de longues années, il retournait, en vaccances, au Cambodge pour voir sa famille qui, bien sûr, enviait son niveau de vie mais, levait les bras au ciel en le traitant de fou quand il expliquait combien il fallait treavailler pour obtenir cela en France !..L l'autre, un Vietnamien enfui de son pays de façon rocambolesque disait que, depuis, il avait écrit à sa soeur qu'il ne fallait surtout pas venir en occident !..Chez eux une journée courte de travail permet de couvrir les besoins élémentaires pour plusieurs jours aussi ils ne veulent point s'épuiser par le travail ni vivre la vie trépitante de l'occident.

Dans les prochains jours le gouvernement français va envoyer un millier de soldats en centre afrique pour rétablir l'ordre ! C'est exactement ce qui se faisait à l'époque de la colonisation et je pense que les habitans de ces régions ne sont pas dupes...si c'est dans le bt de masquer les autres problèmes du gouvernement, je pense que c'est raté d'avance...une chose est sure, les dites bandes de pillars se dispersent apparament dans la brousse et il sera pratiquement impossible de les trouver, ils se contenteront d'embuscades et de raids surprise qui nous couteront probablement très cher et, selon moi, il est totalement inutile de compter sur l'aide de troupes africaines qui ne sont que des bandes de pillars elles même !

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13 octobre 2013 7 13 /10 /octobre /2013 18:19

Les éleveurs de porcs et de poulets mettent, de plus en plus, la clef sous le paillasson, les abattoirs et autres usines traitant ces viandes font faillite...ça semble être sur la mauvaise pente et, depuis longtemps les écologistes sont accusés d'agir contre l'élevage et l'industrie agro-alimentaire européenne de concurence déloyale...enfin, le dernier thème est le fait des cantines qui ne servent plus de porc aux enfants en raison de la présence d'enfants musulmans...Il faudra tout même que ce lobby agro-alimentaire se rende compte que les gens consomment de moins en moins de viande et que la situation d'après la guerre 1939-1945 où la population qui avait été privée de viande voulait se rattraper. A cette époque les dirigeants ont pousser à la production de viande à bon marché sans ce rendre compte que ce besoin ne saurait durer ! Petit à petit cette production à outrance a imposer une exportation subventionnée que le contribuable a donc payé et une polution de moins en moins supportable. Comme rien n'est plus facile à élever que du porc ou du poulet les pays producteurs d'aliment et à main d'oeuvre moins chère se sont mis à l'élevage de ces animaux et à l'exportation... Il est évident que pour des éleveurs dont la famille à vécu, depuis des générations, dans la ferme familiale tout comme les employé des abatoirs et usines agro alimentaires qui croyaient avoir une situation à vie, pour eux et pour leurs enfants, d'avoir à vendre la maison quand se sera possible, changer de région, éventuellement se faire nomade...les temps à venir seront très dur !...mais, il est vraisemblable que s'en est fini du travail sédentaire...ça n'a d'ailleurs jamais existé pour ceux qui voulaient réussir...le travail et l'existance sédentaire est pour ceux dont l'objectif est, bien sûr, d'éviter tout changement quitte à vivoter ou, même, à survivre...  Mais, il y a un nouveau problème, la viande végétale a fait son apparition et il semble que c'est un grand succès en Hollande, en Grande Bretagne, aux Etats Unis et dans quelques autres pays...Il semblerait que l"ertzaz de poulet a exactement le goût du poulet de chair, quant au boeuf, il lui reste quelques progrès à faire...Il est certain qu'au point de vue écologique c'est parfait !...et vu la tendance actuelle vers le végétarien ou tout au moins anti viande animale, je pense que les éleveurs de bétail ont du soucis à se faire ! 

L'histoire du développement de l'agro-alimentaire breton commence dans les années 50 et est lancée et encouragé par des politiciens. Les privations alimentaires, particulièrement de viande, durant les années de guerre faisaient, qu'à cette époque, la population était avide de nourriture carnée et à bon marché. On commença à produire de grosses quantité de poulets en batterie et qui avait le goût et l'odeur de poisson du fait de l'aliment à base de farine halieutique..ensuite vint les usines à ports de plus en plus importantes...la population mangea de ces viandes jusqu'à saturation et, éventuellement, problème de santé du fait de l'excès de consommation et d'une hygiène douteuse des animaux... L'agro-alimentaire se tourna vers l'exportation mais, du fait de la diminution de cultures, dû importer des aliments pour ce bétail...les pays importateurs qui, pour beaucoup produisait l'aliment en question virent combien il est facile d'élever ces bêtes... et les autres pays importateurs se dirent qu'en important eux-même ces matières premières de fabrication d'aliment ils auraient toute facilité à réaliser eux aussi l'élevage !.. Beaucoup d'industries ont connu un parcourt similaire même si, autrefois, ce parcours était souvent plus lent...Un démarrage, une montée en puissance, un plateau plus ou moins long, la concurence et la chute, parfois catastrophique..L'industrie pétrolière l'à connu en 1986 époque à laquelle beaucoup de société pétrolières et parapétrolières ont disparus et beaucoup de mes collègues, n'ayant connu que cette vie pleine de sacrifices et d'aventures, se sont suicidé...Des société ayant les reins solides en ont racheté d'autres et des gens comme moi, ont accepter de travailler dans des conditions très difficiles avec un salaire de misère jusqu'à ce que les survivants revoient le jour.

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13 octobre 2013 7 13 /10 /octobre /2013 16:11

L'équipe française de pompiers du pétrole pour l'extiction des puits en feu, dont j'étais chef de mission adjoint, avait installé son quartier général à Jara, à la sortie nord de Koweit city, au début de la route vers l'Irak, route que les Américains avaient baptisée " La route pour l'enfer ".

A la sortie de Jara, en allant vers le nord, on avait guère besoin d'explication pour savoir ce qui avait fait les Américain appeler cette route par ce nom. Un poste de l'Armée Koweitienne gardait cette route et le poste ainsi qu'une jeep étaient armés d'une mitrailleuse de 12,7 mm. Passé ce poste, de chaque côté de la route, ce n'était que véhicules calcinés et enchevètrés parmis lesquels il y avait quantité de munitions et quantité d'objets courants dont de vètements et jouets d'enfants. Une odeur de chair brûlée y reignait encore et nous devions écarter des nuées de mouches. Horwell, la société pour laquelle nous travaillons, avait transformé, à Jhara, un immeuble en hôtel pour le personnel avec les bureaux, cuisine et réfectoire, au rez den chaussée. Le 11 juillet au matin , moi, un représentant de la société Géoservices et trois secrétaires palestiniennes remplissions des taches administratives losque, vers 10 heures, de violentes explosions secouèrent l'immeuble !...Les secrétaires se précipitèrent sous les tables et bureaux en criant " Les Irakiens reviennent ". Je décidait de monter sur le toit en terrace pour voir ce qui se passait, j'avais de forts doutes quant au retour de Irakiens mais qu'un commando soit parvenu jusque là était fort possible...toutes les nuits il y avait des échanges de tirs et les services français nous avaient mis en garde contre de possibles raids venant de l'île de Burbiyan. Sur le toit je dut m'agriper au muretin pour résister au souffle des explosions dont on voyait les lueurs tout au long de la route menant à la ville de Doha ou l'armée américaine avait une base...cela dura six heures causant un incendie qui dura 24 heures...On apprit plus tard qu'il y avait 3500 soldat du11e régiment de cavalerie US ainsi qu'un contingent britanique sur les lieux. Officielement il n'y eu qu'une soixantaine de blessés mais 4 chars Abrams M1A1 avec des munitions à l'uranium appauvri et 660 obus de120 mm, 9720 de 25 mm soit un total de 6 tonnes d'uranium appauvri avaient sauté; d'autres sources disent qu'il y eu plus de chars détruits là que pendant le reste de la guerre... J'ai tendance à rapprocher ceci de l'échec d'intervention US en Iran pour récupérer le personnel diplomatique devenu otage.. 

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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 16:56

La pénurie d'électricité européenne, annoncée pour cet hiver, n'à rien de surprenant. Les gouvernements, poussés par de écologistes politiques, réduisent les sources d'approvisionnent en arrêtant les centrales au gaz et nucléaires, quite à les remplacer par des centrales au charbon ou a la lignite ( Allemagne ). L'argument des écologistes politiques est une polution engendrée par les centrales aux énergies fossiles et le danger présenté par les centrales nucléaires...ceci n'est pas faux mais, croire que l'Europe est prête à remplacer ces sources d'énergies par des énergies renouvelables relève d'une énorme utopie !...L'argument de l'économie d'énergie est on ne peut plus faux car si on économise d'un côté on augmente sans arrêt la consomation, un exemple étant les véhicules électriques...L'énergie renouvelable éolienne ou photovoltaïque n'est pas une ressource constante ni fiable, elle rique de faire défault au moment où on en aura le plus besoin...Elle peut venir en apoint mais guère plus, pour le moment !...Il n'existe pas de moyen de stokage, les batteries, au plomb, au cadium nickel et autres, ne sont pas aptes a assurer un fort débit sur une longue période...on trouvera sans doute un moyen mais pas dans un avenir proche !

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 09:11

Je travaillais en Libye depuis quelques mois comme géologue sur des forages. Une corruption générale reignait dans le pays dirigé par le roi Idriss. Tout le monde s"était fait à cette corruption et cherchait à en tirer parti. L'armée américaine et l'armée britanique étaient présentes dans le pays, les Américains à Weelus Air Force base et les Anglais qui encadaient l'armée et la police libyennes.

J'étais sur un appareil de forage de la société française Forex, le Super 2, qui forait pour Cori, une filliale de la société pétrolière Agip, elle même filliale de l'ENI, le consortium national italien. Nous étions dans les dunes de la mer de sable du Calancio, à l'est du pays, guère loin de la frontière égyptienne.

Un matin, alors que je portais mon rapport au superintendant d'Agip, je trouvait le bureau de Forex en émoi, Il s'était passé quelque chose de grave en ville et on ne parvenait plus à avoir de contact radio. Dans la matinée la radio refonctionat et on apprit qu'il y avait eu un coup d'état, sans plus de renseignements, et que Tripoli et Benghazi étaient bouclées, aucun transports, terrestres ou aériens, ne pouvaient quiter les villes...On supputa que le coup d'état avait été organisé par les anglo- saxons pour mettre un de ses fils à la place du roi dont le bruit courrait depuis longtemps...Supputation qui s"avérèrent exactes mais, ce que personne n'avait prévu, c'est qu'un jene capitaine et quelques uns de ses amis allaient  profiter de cette rumeur pour faire leur propre coup, un peu en avance sur celui prévu...L'armée et la police pensèrent que les choses se déroulaient normalement et il n'y eu aucune opposition.Quand les anglo-saxons se réveillèrent à la réalité il était trop tard !...

 

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8 octobre 2013 2 08 /10 /octobre /2013 15:02

Cette guerre me trouva en Syrie, à l'est de Der y Zor, pas loin de la frontière irakienne, j'éfectuais une mission de trois semaines pour la société Géoservices qui avait vendu trois laboratoires de chantier de forage à la compagnie pétrolière nationale syrienne. Je devais mettre en route ses laboratoires et former le personnel syrien. Deux de ces laboratoires étaient sur de appareils soviétiques sur un champ de pétrole situé à l'est de Der y Zor... Je passait deux semaines là, avec les stagiaires qui se rertrouvèrent armés en groupe anti-parachutiste pour la simple raison que nous parcourions beaucoup le désert..Au bout de ces deux semaines je me rendis dans la région d'Alep, où était le troisième laboratoire, en dépassant de nombreux convois militaires pakistanais se dirigeant vers le front, je pus observer des civils en armes gardant les ponts. A Alep je rendis visite au Consul de France qui n'en menait pas large car, lors de la guerre précédante, il avait du défendre le consulat à la grenade..

Au bout des trois semaines je pris la route pour Damas en compagnie de mon chauffeur-garde du corps et de mes stagiaires, en armes, qui étaient sans nouvelles de leurs familles, alors que Damas avait été bombardée et où mon passeport était détenu par le gouvernement...A l'aube on s'arrêta en ville, pour déjeuner et, j'éprouvait quelque inquiétude en m'apercevant que nous étions au milieu d'un convoi de camions chargés de munitions...si un espion Israélien était dans les parages nous risquions de partir en fumée...tout se passa bien et l'arrêt suivant fut Homs pour me faire visiter la rafinerie bombardée.

En approchant de Damas nous nous retrouvâmes au milieu de troupes et de chars syriens qui installaient une ligne au nord...je dit, en plaisantant, qu'il fallait peut-être s'arrêter pour leur dire que les Israélins étaient devant nous et non derrière...mesb compagnons prirent assez bien la plaisanterie mais, je devenais vraiment inquiet en pesant que les Israéliens pouvaient prendre Damas et que nous nous jetterions dans leurs bras...être capturé en compagnie de Syriens et de Palestiniens en armes et ceci sans papiers me faisait craindre le pire !...

Les Israéliens ne prirent pas Damas et, après deux journéesà l'hôtel, en compagnie de journalistes très vantars car leur seule sortie était un point presse du gouvernement alors qu'on me faisait visiter la ville et , bien sur, l'ambassade soviétique bombardée...Il y avait souvent des combats aériens et nous allions voir le spectacle sur le toit en terrace de l'hôtel en buvant une bière...mon contact vint m'annoncer qu'un aviond'Air France se poserait peut-être deux jours après...Il ne pouvais me le certifier et, en alternative, me proposait une place dans un taxi collectif pour Beyrouth, je décidais pour le taxi...A la sortie de Damas, près de l'aéroport, un avion en flammes vint s'écraser près de la route..enfin ce fut la frontière et là , une nouvelle angoise : celle d'être refouilé pour une raison quelconque, mas tout se passa bien et, après deux jours dans un hôtel à Beyrouth, je pu prendre l'avion pour la France où ma famille et Géoservices étaient sans nouvelle et craignaient ma disparition..c'était il y a quarante ans !...

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