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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 19:09

Depuiis 2002 ils avaient signé le plan régional de l'agriculture pérenne et ils savaient que le modèle breton allait dans le mur; ils n'ont jamais pris en compte la fin des restitution européenne qui étaient poutant programmé depuis 2005 ! c'est donc avec cynisme qu'ils revendiquent des affaiblissements de la réglementation environnementale...ils font fi de la pêche et du tourisme qui exige une eau de qualité...Bien sûr ils voudraient que continuent les restitution qui sont prises dans la poche des contribuables Européens, ils accusent les travailleurs de l'est européen de créer du dumping social mais sont trop heureux de les trouver pour certains travaux...Le coût des matières premières qu'il faut iomporter ajouté à la basse qualité des produits ne peux être compensé par la quantité !...Les clients à l'exportation se feront de plus en plus rare car ils se rendent parfaitement compte qu'ils peuvent produire la même chose à un coût bien moindre...La méthanisation serait bonne au point de vue énergétique mais, il faudrait former du personnel de conduite, trouver des capitaux et un débouché pour les stock de nitrate et amonium qui en résulteraient.tout ça est inflamable et explosif en plus de générer un poison très violent....Il y à eu le scandale de l'amiante, il pourrait y avoir un scandale de l'Hydrogène Sulfuré car de très faible concentration peuvent créer un acide dans les poumons et déterriorer les alvéoles pulmonaires ! et  bien d'autres préjudices que l'on ne connait pas encore...

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 16:25

Je travaillais, comme géologue, pour Agip-Nigeria, sur un appareil de forage de Saipen, une autre société italienne du groupe ENI ( Ente Nationale de Idraucaburi ), près du fleuve Niger, au nord du delta et dans la jubgle..le camp était à une distance d'environs cinq kilomètres du chantier. Le puits se forait normalement avec quelques problèmes de stabilité des parois, ce qui est normal dans des terrains meubles comme on en trouve au Biafra. Le camp était loin d'être luxueux mais était relativement confortable si ce n'est la porte de ma chambre qui fermait très mal et pouvait laisser passer las insectes et autres petites bestioles, éventuellement des serpents qui abondent dans cette jubgle ...des vipères du gabon, des mambas verts et noirs, des pythons ect...mais seuls les uinsectes ùm'embêtaient vraiment et ils grouillaient autour du camp comme du chantier, attirés, la nuit, par l'éclairage dont les fortes lampes les faisaient griller...il y avait un vrai tapis sur le sol et, avec les pluies tropicales et la chaleur solaire qui suivait, ces cadavres de bestioles dégagaient une odeur peu agréable...

Un jour, peu après midi, alors que les autres expatriés avaient rejoint le camp pour déjeuner et qu'il ne restait que moi et un laborantin au laboratoire géologique avec un maître sondeur italien en charge de l'équipe de forage, composée de locaux, sur le plancher de la sonde, j'entendis frapper à la porte, le laborantin ouvrit et, rapidement, m'appela en disant qu'on me demandait. J'allais voir et me trouvais nez à nez avec un local agitant une machette qui répètait " No work..No work "...Je répondis "Yes...ok " et vis le maître sondeur qui me faisait de grands signes depuis le plancher...J'allais le voir et il m'expliqua que les villageois voisins avaient envahi le chantier et voulaient qu'on arrête tout !...Il mit le puits en sécurité et nous décidâmes de prendre une land-rover pour aller au camp mai, les villageois avaient abattu des arbres qui coupaient la route, nous avons donc rejoint le camp à pied et les villageois étaient assez amicaux tout au long de la route...Alertée par Agip la police arriva à bord de trois camions. Les policiers et les villegeois se regardèrent en chiens de faïence jusqu'au soir..un chauffeur de camion, de cette tribu, venu livrer du ciment servit de porte-parole aux villageois, il lui firent dire qu'ils n'avaient point peur de la police car ils avaient plus de fuisils qu'eux...il y eu des coups de feu sparodiques dans la jungle...La nuit tombée, le chef de la police vint nous voir pour nous dire que ses hommes avaient été de service depuis la nuit précédente et, qu' en conséquence, il devait les faire rentrer à leur base...nous nous retrouvions seul et sans armes face aux villageois...quelques reconnaissances nous apprirent qu'ils étaient en train de boire abondament et l'alcool de palme étant assez fort, nous nous risquâment prendre la piste avec une voiture et à rejoindre une station Elf non loin de là pour prendre un contact radio avec la base car la notre était restée au chantier, nous nous munimes de gourdins et de couteaux bien qu'avrc ça, nous en étions conscient, nous n'aurion guère fait le poids en cas de mauvaise rencontre...enfin, le trajet se passa bien et, Port Harcourt nous suggéra de rejoindre le camp de la division octopus, une division d'infanterie de marine censée nous protéger ou de rentrer à Port Harcourt...Je décidas de rebtrer à Port Harcourt avec un Américain....Le landemain matin, Agip nous fit savoir qu'on puvait retourner sans problème...arrivé au camp, en voyant les hélicoptères et la " Elisabeth police " ( police anti emeute ) armée jusqu'au dents, aucun de nous n'eu besoin d'explication que nous nous gardâme même de démander à ces policiers qui déjeunèrent avec nous après avoir posé leurs mitraillettes dans un coin !...Il fut dit qu'Agip s"etait trompé de village en payant les indemnités...

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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 09:56

J'ai travaillé comme ingénieur forage pour la société Woodside, au large du coin nord ouest de l'Australie occidentale, pendant un an, j'effectuais des rotations de deux semaines sur la plateforme semi-submersible " Margie " de la société américaine Atwood Oceanics et une semaine de repos à Perce. Cpmme je ne savait trop que faire de mon temps libre dans cette ville j'entrais en contact avec les " Fremantle Volonteers Sea Rescue " qui furent très heureux de m'accueillir parmis eux, d'autant plus que j'avais une certaine expérience de la mer et des bateaux ce qui manquait parmis leurs adhérents. Les " volonteers sea rescue " sont l'équivalent Australien de notre SNSM à la différence qu'ils ne touchent aucune prime et doivent même s'acheter le casse croute de leur poche. Ils ont des sponsors et leurs bateaux font de la publicité pour ses sponsors...un peu comme nos coureurs à la voile...Ils touchent une certaine somme d'argent, tous les ans, de l'état, en fonction des sauvetages effectués...coyez-moi, dès l'alerte, c'est une compétition effrènée entre les stations et la police natique qui les jalouse un peu...Une sorte de tour de contrôle est construite au port de plaisance de Fremantle et trois volontaires y exertcent une permenence radio sur la CB car la VHF n'existe pas là bas; chaque bateau signale son départ et sa destination ainsi que l"ETA...les permanants inscrivent ces rensignements sur un tableau et, si le bateau n'appelle pas au temps prévu par l'ETA ils essaye de le contacter; si au bout d'un temps raisonable ils n'obtiennent aucun contact, l'alerte est donné et les vedettes de sauvetage entament les recherches..Les " Volonteers Sea Rescue " de Fremantle possédaient une vedette catamaran de 7 mètres avec deux moteurs Z-drive et pouvait atteindre 28 noeuds...assez impressionnant par mer formée...je craignait de voir les deux coques se séparer tant les chocs de vagues étaient violents..Le week-end se passait, en général, en patrouille en mer, prêts à intervenir...Comme sur les côtes française, il y à de nombreuses fausses alertes : des gens disant avoir apperçu des fusées de détresse, des bateaux ayant omis de se signaler etc...la seule vraie interventionà laquelle j'ai participé était un voilier familial en panne, au large de Fremantle et que nous avons remorqué à son mouillage dans la Swan River..après un épisode assez fantastique en passant le port de Fremantle..Un cargo embarquait des moutons pour l'Arabie Saoudite et, un de moton, veaisemblablement affolé, sauta à l'eau...comme nous passions à proximité de ce mouton, nous stoppâme la vedette et repêchament le moton avec beaucoup de difficultés car la pauvre bête était effraillée...elle perdit même une corne dans l'affaire...arrivé au mouillage du voilier, les enfants ne voulaient pas se séparer de mouton et les parents nous demandèrent de le leur donner car ils avaient une grande pelouse que le mouton les aiderait à entretenir...ainsi fut fait, à notre grand soulagement car, qu'aurions-nous fait de ce mouton ?

Au lieu de mourir en mer, comme beaucoup de ses cogénères ou de finir en méchoui ou kebab, ils a probablement eu une vie heureuse, entouré de l'affection des enfants et, peut-être aussi, des parents ...

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11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 09:51

Les Philippins, sans doute poussés par la misère, se sont repandus à travers le monde. On en trouve sur la majorité des bateaux et des plateformes pétrolières, les femmes se sont beacoup expatriées en Asie du sud-est et au Moyen Orient, travaillant le plus souvent comme femme de ménage et étant souvent traitées en esclave par beaucoup de leurs riches et puissants employeurs..Or, je peux témoigner que le Philippin est très courageux. Je les ais très bien connu sur le " Maersk Victory " , au large du Qatar. Ils vivaient à leur façon et occupaient un étage de la plateforme auto-élévatrice, ils avaient leur propre cuisine et leur propre salle à manger, non qu'il fut question de racisme, bien loin de là mais, les goûts alimentaires et les moeurs étaient très loin de ceux des occidentaux. Le soir, ils se livraient à la pêche,parfois ils prenaient des requins que l"on remontait dans un panier, à la grue, et ils allaient dans le panier, avec le requin, pour enlever l"ameçon. Ils sèchaient le poisson sur le toit de la mosquée, située dans un container près d'une des piles, La majorité d'entre eux était musulmane. Ils firent grève une fois pour obtenir un meilleur régime de rotation, ce que tout le monde compris très bien, ils obtinrent satisfaction. Une autre fois, un film sur leur ancien président Marcos déclencha une bagarre généralisée entre anti-Marcos et partisants de Marcos...Il falu faire intervenir la police du Qatar. A part ces deux incidents, aucun reproche ne pouvait leur être fait, c'était des travailleurs acharnés et d'un courage exemplaire, une fois, au cours de descente d'un outil de perforation des tubes par Sclumberger, l'outil comportant une cinquantaine de charges creuses resta coincé dans la tête puits... Je supervisais l'extraction de ces charges par l'équipe de Schlumberger, dirigée par un ingénieur égyptien , aidée par l'équipe de forage, composée de Philippins et dirigée par un maitre sondeur  Suédois. Je me tenais derrière un des montants du derrick en espérant qu'en cas d'explosion l'épaisseur d'acier me protègerait mais, les Phillipins travaillaient, avec les gars de Slumberger, à toucher les charges et continuèrent à le faire jusquà ce que touts les charges fusent neutralisées...ils ne bronchèrent même pas quand le bateau de soutien, inquiet de la prolongation de notre silence radio, qui avait débuté le soir pour la manipulation d'explosifs, durait encore au petit matin, s'approcha près de notre bord et fit le tour de la plateforme pour observer...moi j'étais très inquiet à l'idée qu'il pourrait nous appeler sur la radio, déclanchant les détonnateurs...tout se termina bien et leur sang froid fut admirable !

Au large du Sultanat de Brunei, nos avions un petit bateau de sécurité dont l'équipage philippin restait en mer durant onze mois pour un mois de congés aux Philippines...   

Lors de l'extinction des puits en feu au Koweit, Supply Oilfied Services, une société de services des Philippines, dont le PDG, Louis Paul Heussaff, natif de Douarnenez, nous fournit des manoeuvres et des chauffeurs et du personnel de restauration. Ces Phillipins furent exemplaires, ne reculant jamais et affrontant le feu sans jamais souciller ou manifester le moindre recul ou la moindre hésitation...Ils étaient très fiables, contrairement aux chauffeurs de cars Saoudiens qui usaient énormément d'alcool et de drogues et dont l'un fini par disparaitre avec son car, probablement rentré en Arabie Saoudite...évidemment, à la fin de l'oppération, certains voulaient rester au Koweit où ils éspèraient trouver du travail en abondance...Hélas ! les autorité locales avaient exigé que l'Ambassadeur de France s'engage à ce que tous les pompiers de l'équipe française quittent le Koweit une fois le dernier puits éteint...nous dûment demander l'aide de la police, saisir les passeports et faire escorter le personnel philippin jusqu'à l'aéroport où nous leur rendîmes les passeports au moment d'embarquer !...

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10 novembre 2013 7 10 /11 /novembre /2013 10:33

Les casseurs des quartiers sensibles banlieusards disent vouloir du travail et l'amélioration de leur niveau de vie, il me semble que les bonnets rouges réclament la même chose et je ne vois pas pourquoi ils bénéficieraient d'un traitement de faveur...D'aussi loin que je puisse me souvenir les organisations agricoles et syndicats se sont toujours livré à la casse pour obtenir des faveurs, souvent pour s'aperçevoir que leurs meneurs avaient été les seuls à tirer profits de leur mobilisation...Combien de paysans j' ais-entedu se plaindre d'Alexis Gourvenec et de Marcel Léon qui, selon eux, avaient su en tirer profit pour eux-mêmes et avaient froidement laissé tomber ceux qui les avaient soutenus...J'ai aussi entendu Marcel Léon, un soir, alors que nous étions attablés pour prendre un verre dans son auberge de Millin Keroch en Sizun, se plaindre du manque ou du peu d'aide d'Alexis Gourvenec envers lui...Ceci confirme que le milieu agricole breton est très individualiste et ne recherche que le profit personnel !...Depuis les années cinquante ils ont vécu avec des subventions qui n'ont fait qu'augmenter alors qu'elles auraient seulement du être une aide au démarrage...Tout autre industrie change de voie ou disparait dès que l'on s'aperçoit qu' elle n'est pas rentable..l'excuse de nourrir la population n'est plus crédible à l'heure où on ne sait que faire des excès !..Quand à nourrir le monde c'est, simplement une grande utomie qui se révèle être une escroquerie car les gens du tiers monde n'ont pas un régime alimentaire comme on produit dans les pays occidentaux, ils ne peuvent non plus payer ces aliments aux prix auquels ils sont produits en Bretagne et qui paiera transport et conservation ?...La seule solution sera de développer la culture et, éventuellement, l'élevage sur place...En outre la Bretagne ne produit plus de matière première pour la fabrication des aliments pour bétail et doit donc l'importer d'Amérique du nord comme du sud....

Pour la population il faudra trouver d'autres industrie mais, cette population devrait aussi apprendre la mobilité, voir l'expatriation....

J'ai beaucoup fréquenté les financiers et les industriels internationaux et, pour moi, il est évident que toute cette agitation ne les poussera pas à investir en France et surtout pas en Bretagne !... 

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9 novembre 2013 6 09 /11 /novembre /2013 14:57

Je suis très familier avec les explosifs dont j'ai appris à connaitre les effets dramatiques, pour la première , il s'agissait de gens qui s'étaient réfugiés là pour fuir les bombardements alliés sur Brest; ma mère et les mères des deux autres vinrent nous chercher pour le goûter...A peine assis sur les genoux de mon père, pour prendre ce goûter, une violente explosion retyentit...mon père me prit sur ses épaules et se précipita dans la rue...tous les abitants du quartier courraient vers le bout de cette rue...bien vite quelqu'un annonça que " le petit Mignon s'est fait sauter sur une bombe ! "...ce pouvait être une bombe, un obus ou une mine...j'entendis dire qu'on avait trouvé des morceaux de l'enfant à quelques cent mètres de là et, bientôt, quelqu-un monta des lambeaux de chair et bout de tissus sur le toit voisin..c'est tout ce qu'il retait de mon camarade !...

Mon père était chasseur et, comme les autres chasseurs, à cette époque, fabriquait ses cartouches lui-même; il y avait donc de la poudre à la maison et je vis bien les précautions que mon père prenait avec cette poudre...plus tard, dans la Marine Nationale, je fut artilleur et eu à manipuler toutes sortes de munitions et de grenades, à visser des fusées sur des obus etc...enfin, je dus m'occuper de missiles et j'en armais et désarmais souvent, y compris ceux qui refusaient de partir après avoir été mis à feu et sur lesquel je devais me mettre à cheval pour les isoler électriquement avant de les désaérmer...je règlait aussi le système de mise à feu de la charge de destruction des missiles d'exercice, à l'aide d'un tournevis...les landemain de fête  les spectateur, voyant mes tremblements, laissaient du champ libre entre eux et moi... dès qu'il était question de mouvement de munitions la consigne était " intrediction de fumer, piquer, meuler et souder "...Plus tard, sur les forages pétroliers, nous avions des explosifs et des détonnateurs électriques utilisés pour percer des trous dans les tubes de cuvelage, de production ou de forage et pour prendre des carottes latérales à balles...Une fois l'outil monté en surface il fallait vérifier l'isolement, la conductivité des cables et qu'il n'y avait aucun potentiel entre le puits et l'outil.avec un appareil de mesure spécial à très fable courant...un fois, dans le sud-ouest de la France, un opérateur se trompa d'appareil de mesure et, comme il y avait de nombreux spectateurs, il y eu beaucoup de victimes !..Une autre fois, en Hollande, un outil à percer des trou dans une tige, ne répondit pas à la mise a feu...par mesure de sécurité il fallu faire venir une caisse en bois aux parois très épaisses et ramener l'outil à la base pour le désarmer !..

En off shore, les explosifs et détonnateurs sont, le long du bord, dans des caisses métalliques prêtes à être larguée instantanément à la mer.

La sécurité veux que explosfs et détonnateurs soit physiquement séparés et qu'il n(y aie aucun feu, aucune source d'étincelle ni d"électricité statique à proximité...Tout doit être à la masse !...

L'explosion de laz poudre dans le théatre parisien ne peut être due qu'à une imprudance de gens ignorant les consignes et dangers ! 

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 17:36

Un racisme certain, doublé de paternalisme à existé du temps où des sociétés de forage françaises existaient en Afrique en particulier. Les blancs se croyaient supérieurs aux indigènes qui était surtout employé comme manoeuvres et jugés inaptes à occuper d'autres fonctions...Cet état d"esprit était partagé dans d'autres domaines et les termes péjoratifs de " bougnoules, bicots, négros et autres " étaient courrament employés pour les désigner...Je crois que le mots " dupont la joie é désignait les gens réagissant de la sorte...Je pense que cela était plutôt du à des différences de culture plutôt qu'à autre chose et l'internetionalisation du forage à mis un terme à cela...Pour les foreurs internationaux, principalement Américains mais aussi de très nombreuses nationalité, chacun est là pour travailler au maximum de sa capacité et peu importe sa couleur de peau, ou sa religion, tous doivent faire le maximum pour atteindre le but fixé avec abstraction totale d'état d'esprit...Les seuls critères de jugement sont la connaissance de son travail, la volonté et l'ardeur que l'on met à le réaliser. Les efforts sont partyagés et les riques sont les mêmes pour tous, chacun doit faire preuve de courage, de solidarité et d'abnégation...Aucun critère racial n'est perçu sur les forages même si, parfois les réfectoires et sas de repos sont séparées pour des raisons de religions...Une conduite très curieuse est que certains hommes tenent un language très raciste sont friants de rapports sexuel avec des femmes autochtones...

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 09:29

L'agitation et la conduite violente en Bretagne aura réussit à faire, encore, baisser la faible confiance des entreprises internationales en la France et les Français qui sont déjà considérés comme des rouspèteurs jamais satisfaits et peu ardents au travail, voir des agitateurs dont l'exemple est Christian Troadec, le bouillant maire de Carhaix. Pour l'Américain moyen il est inconcevable d'avoir une telle conduite !...Pour lui le travail passe avant tout et doit arriver à un résultat positif, pour lui, il loue son travail à l'entreprise et est payé pour cela...s'il n'y a plus de travail, il touche son salaire et va en chercher ailleurs, il loue simplement sa compétence et n'a aucunément la prétention de poséder l'entreprise...il ne réclame aucune indemnité qui ne soit prévue au contract de travail mais, il semble que le mot contract n'aie ancun sens en France...Cela est vrai un peut partout dans le monde et parait logique, après tout, depuis l'origine de l'humanité, on ne récolte que les fruits de ce qu'on à semé...Nul ne peut croire que les politiques et les chef d'entreprises ignoraient que le modèle agro_alimentaire breton allait droit dans le mur et ils savait que les subventions européennes auraient une fin dans un avenir très proche mais, ils espéraient faire durer cette rente payée par les contribuables européens !... Ce genre de conduite a déjà détruit la marine marchande française !..Quand à l'écotaxe, quoi de plus normal que de faire pyer l'entretien des routes par ceux qui les défoncent !

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 08:12

Je travaillais comme coordinateur de forage pétrolier pour Eurogas, une société canadienne dont les actionnaires et dirigeants sont Italo-Américain, à Tunis. Mon agent était Halliburton qui avait un contract de services intégrés avec Eurogas. L'entreprise de forage était tunisienne et travaillais dans le désert, à la frontière algérienne. Une société de service américaine était chargée des mesures électriques et, comme sur tous le forages, détenait des explosifs et détonnateurs électriques stockés dans une armoire métallique à une centaine de mètres du chantier. Un cahier de gestion de ces explosifs et détonnateurs était tenu par le responsable, un américain, de la société de service; les gendarmes tunisien venaient, de te^ps à zautre, contrôler la concordance de ce cahier, où toutes les utilisations d'explosifs et de détonnateurs étaient noté...lors d'un contrôle de ces gendarmes on s'apperçu qu'il manquait des détonnateurs !...Les autorités tunisiennes et les directions des différentes sociétés s'affolèrent quelque peu mais, au bout de peu de temps on apprit que le problème était rêglé...La très grande proximité avec la frontière algérienne non suveillée, une cinquantaine de mètres, en plein désert, nous fit soupçonné un traffic avec les Islamistes qui auraient trouvé, avec quelques complicité, un approvisionement facile en détonnateurs toujours plus difficile à trouver que des explosifs...Enfin, aucune preuve ne fut révèlé et on n'en parla plus !

A l'heure actuelle je trouve que le gouvernement français fait beaucoup trop de bruit autour des deux journalistes tués au Mali, l'AQMI, ou quiconque à accompli cet acte de terrorime, n'espérait surement pas autant de publicité...on sait que toues les organisations de ce genre recherchent, avant tout, de la publicité !..Alors, pourquoi leur en fournir à volonté ? ...Serait ce pour masquer des difficultés du moment ?...ou pour justifier l'envoi de troupe ?...Cette guerre contre les extrémistes musulmans ne peut être gagnée de cette façon qui, en plus, pousse au racisme en France, peut-elle même ètre gagnée ?..On peut en douter, des troupes régulières et étragères de surcroit, ne sont jamais parvenus à mater une rébellion où que ce soi dans le monde !

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 08:56

J'étais encore nouvea dans le forage pétrolier, j'avais eu une formation de géologue de sonde à l'Institut Français du Pétrole par l'intermédiaire de la société Géoservices, spécialisée dans les services géologiques aux compagnies pétrolières et qui avait besoin de gens connaissant électricité et l'électronique pour le matériel d'analyse et de contrôle de forage qui commençait à faire son apparition sur les chantiers. J'avis dû aller en urgence sur un chantier de Pétrofina, dans le sud de l'Espagne, ou les géologues présents Roma et Renaud, avaient quelques difficultés à faire fonctionner ce matériel, après cette opération j'avais suivi un stage sur des forages de la Société Nationale des Pétroles d'Aquitaine, dans la région de Pau. S'en suvit une mission en Algérie, au Sahara, dans le Grand Erg Oriental, à l'est d'Hassi Messaoud, sur un appareil de forage, le Super 9 de Forex qui faisait un puits pour une société américaine en voie de nationalisation par le gouvernement algérien..

A la fin de cette mission, en mai 68, je fut affecté en mer du nord, du côté britanique, sur une plateforme américaine de la société International Drilling Company ( Offshore Company ) qui travallait pour la société américaine Phillips 56, au large de Lowestoff. Je pris donc l'avion pour Londres où je me présentait à Jean Coatenlem, un breton comme moi, natif de chateauneuf du Faou, qui était le représentant de Géoservices au Royaume Unis. Après que nous ayons déjeuné ensemble, Jean me mit dans un train pour Great Yarmouth où, je pris une chambre au Two Bears Hotel. Le landemain matin je me présentais à la base de Phillips où je fut mis dans un mini-bus qui m'amena à l'héliport de Lowestoff qui était une ancienne base désafecté de la " Bataille d' Angleterre ". Dans un baraquement on m'enregistrat, me pesa avec mes baggages puis on me donna une combonaison de survie en caoutchouc noir, avec des bottes soudées et des élastiques aux poignets et on me fit grimper dans un hélicoptère Sicorsky S55 munit de flotteurs. Il y avait deux pilotes, équipés comme moi et qui manifestèrent leur mécontantement en voyant ma valise, ils me prévinrent que si, pour la prochaine fois, je ne me procurait pas de baggage souple, mes affaires iraient par bateau..., l'un d'entre eux me donna un casque d'écouteurs avec un micro et me dit qu'à chaque appontage je devait passer les sacs de courrier marqués au pesonnel d'appontage sur les plateformes. C'était la première fois que j'allais voler en hélicoptère...Ce fut le décollage et, après un assez long survol de la mer, souvent cachée par la brume, ce fut l'appontage sur la première plateforme, un plateforme fixe de production;  La porte latérale fut ouverte et un pilote me dit de donner les sacs marqués du nom de la plateforme aux gens sur l'hélideck. Ceci se renouvela deux fois avant que j'aperçoive un derrick sur une plateforme avec le nom de " North Star " peint sur l'helideck...j'étais arrivé et les pilotes me dirent de débarquer... Une personne, je saurait plus tard que c'était le chef de pont dans son rôle d'officier d'appontage, me prit en charge et m'amena, par un dédale de couloirs et d'escaliers, au secrétariat. Le secrétaire me conduisit à une cabine où logeait déjà le collègue avec qui je devais tourner en 12 heures de travail et 12 heures de repos...La cabine était aussi sobre qu'une cellule de moine, les Américains considèrent que l'on est là pour travailler, point final et, quelque part, ils ont raison...Mon travail consistait à prélever des déblais de roche remontant du puits avec la boue, les laver, les décrire et les analyser , les sêcher et les mettre en sacs pour les différents associés..le forage en mer du nord est très rapide et, pour terminer la mise en sacs il fallait rester après la relève. Quelque fois, le chef géologue décidait de prendre une carotte et nous faisions des analyse physico-chimique sur cette carotte avant de la mettre en caisses et de l'expédier à terre, par bateau, pour de plus amples analyses et stockage à la carothèque. Un des chefs géologues, qui était Américain, du côté de l'Illinois, avait fait la guerre comme pilote de B17 dans l'U.S. Air Force, et avait été abattu au dessus du Finitère en rentrant d'un bombardement sur Lorient, une comptesse l'avait recueilli dans un chateau et remis à la résitance qui avait tenté de la faire passer en Espagne mais, il avait été pris à la frontière et avait fini la guerre en Allemagne !

Le premier dimanche à midi, je fut surpris par une sonnerie d'alarme...au bout d'un moment, le chef de pont inquiet de ne pas me voir alors que c'était un exercice d'évacuation, vint me checher et m'explica longuement ce que je devais faire dans ses cas là...de nos jours, les personnels arrivant à bord, sont immédiatement briefés.

Comme je faisait des séjours de deux semaines à bord pour une semaine de repos à terre, je décidais que c'était trop court pour rentrer en France et, un de mes collègue, un Italien marié à une Espagnole, et vivant à Londres, me proposa de me louer une chambre pour mes congés...depuis je connais Londres mieux que Paris, particulièrement le musée de géologie et de préhistoire ! 

Après quelques rotation on reçu un nouvel hélicoptère, un Sikorsky S61, aussi confortable qu'un avion de ligne avec un " flight attendant " ( steward ") et à bord duquel nous n'avions pas à porter de combinaison de survie parce qu'il avait seux tubo-moteurs

Après deux forages dans les eaux bitaniques la plateforme fut déplacée au large de la Hollande pour y forer un puits pour le "North Wining Group ", un consortium dont phillips faisait partie. Lors d'une relève, des dirigeants étant montés à bord et devant redescendre en Hollande, je dus prendre le bateau, un panier à personnel, au bout d'une grue, me descendit sur ce supply boat où l'équipage, se montrant fort accueillant, me proposa, comme il était midi, de manger avec eux mais, la mer était forte et je n'avais pas naviguer depuis fort longtemps...je leur demandait où étaient les toilettes et y vomis le contenu de mon estomac...je passait la suite du voyage à l'air, sur le pont, jusqu'à Ijmuiden où je débarquais pour prendre l'hélicoptère pour Lowestoff

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