Les requins au large du Congo

Je suis arivé à Pointe Noire où je devais embarquer sur le batiment de forage " Navifor Norse " qui forait pour Elf en face du Congo. Le forage n'ayant pas encore commencé, on n'avait nullement besoin de géologue à bord aussi, je restais une semaine dans un hôtel de ce port. Il y avait deux cartes au restaurant, une carte qui offrait des plat occidentaux et une carte présentant des plats africains...j'étais tenté de goûter aux plats africains : crocodile, serpents etc.. mais je ne l"ai pas osé...peut-être que s'il y avait eu un autre Européen...j'ai, sans doute, perdu une occasion !...Au bout d'une semaine je suis monté sur le batiment en hélicoptère, une alouette III, j'y suis arrivé dans l'après-midi et, après avoir fait la connaissance du représentant d'Elf, du chef de cntier de Cocifor, du capitaine , du lieutenant et de l'équipage, je dînais et rejoignais ma cabine où je n'eu acun mal à m'endormir...au matin , je me levais et allais jeter un oeil par le hublot..une ombre fusilforme qui me paru énorme passa sous l'eau, le long de la coque !...En prenant le petit déjeuné je fis part de mon observation, cela ne surpris personne et on m'aprit qu'il s'agissait d'un requin qui avait découvert que le cuisinier vidait sa poubelle à heures fixes et venait se servir à ces heures !...

Le chef cuisinier était de Marseille et nous avions fréquemment des plats au pastis surtout du poisson car nombreux étaient ceux qui s'adonnaient à la pêche durant leur temps libre, nous mangions aussi beaucoup de langoutes, elle est, parait-il, très abondante dans ces parages; il y avait aussi du mérou, de la dorade coriphène, de la murène et bien d'autres poissons...

J'avais pris l'abitude de me rendre du laboratoire de géologie au plancher de la sonde en passant par un raccourci, sur les roof, qui me faisait enjamber le vide, au dessus de la mer, d'environsd cinquante centimètres, je préférais çela aux escaliers et échelles...un soir, alors que les foreurs avait remonté le train de tiges pour changer le trépan, je m'aperçu qu'ils avaient oublié de reconnecter le cable de l'appareil de mesure de profondeur et de vitesse de pénétration, énervé, j'allais au plancher de la sonde, le faire moi-même et, bien sûr, il y eu un échange de paroles qui ne manqua pas d'augmenter mon énervement...en revenant par mon raccourci je sautais l'espace entre les deux roofs et, mon coup, tombais dans le vide et écatais les bras pour me retenir ...je pensais au gros requin qui rodait en bas et qui avait certainement de la compagnie !...je resentait quelques douleurs mais la peur me donna la force necessaire pôur parvenir à me hisser sur un des roofs...j'avais mal à la poitrine et ne parvenais plus à dormir...je rentrais à Pointe Noire voir un médecin qui diagnostiqua deux côtes fèlées..à part une bande serrée autour de la poitrine il n'y avait rien à faire...autant remonter travailler à bord où quelques calmants me permettait de prendre peude repos...

Le puits terminé je redecendis à Pointe Noire, à bord d'une vedette et, durant le trajet, je pus observer de très nombreux requins marteaux qui semblaient tenter de suivre le bateau...ce n'était pas des eaux où j'aurais voulu me baigner...